PetiteLéa témoignage

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il y a 5 ans

PetiteLéa habite à Cognac. Elle est une Little bi et presque lesbienne car avec les filles c’est plus doux, plus maternel. La fac lui a ouvert les yeux sur sa sexualité, elle a libéré tant de chose en elle qu'aujourd’hui elle cherche une adoption. Attention, elle est un peu capricieuse, provocatrice, coquine et demande beaucoup de câlins.

Ceci était mon annonce, écrite avec sincérité et aussi avec un peu de rancoeur quand mon ex petit ami m’a grandement déçue. cette annonce, il m’a fallut 6 mois pour l’écrire, les 6 mois nécessaires pour me remettre d’une grande déception. Pour moi ma vie était tracée, belle, faite de rêve et d’amour. On était heureux, on s’amusait de tout et sans tabou et on parlait même de mariage. A courir plusieurs lièvre à la fois on n’en attrape aucun m’a dit un jour ma mère, en me disant que mon chéri était un piètre chasseur qui ne méritait pas la confiance que je lui portait. Elle avait raison, aujourd’hui le chasseur prétentieux est à la rue et se mord les doigts. Parler de lui dans ce témoignage est aussi un moyen pour moi de lui faire voir qu’il a eu bien tord, que je pouvais vivre sans lui contrairement à ce qu’il disait. Il est membre de fessestivites, je ne dirai pas son pseudo pour ne pas le griller, il est assez puni.

Madame Amazone m’a contactée un jour en me disant qu’elle aimait beaucoup jouer avec les filles. Elle m’a précisée qu’elle était mariée mais que son mari serait totalement en dehors de nos plaisirs si je le désirai. Pour me convaincre de sa sincérité, elle m’a proposée de nous rencontrer à l’extérieur, de faire moitié chemin pour prendre un verre. Sentant dans nos échanges de MP qu’elle n’était pas en recherche d’une fille à partager avec son mari, j’ai accepté de l’appeler en masquant mon numéro. C’est elle qui me l’avait proposée. Alors j’ai osé l’appeler et entre nous, le courrant est passé tout de suite. Pour finir de me convaincre de sa sincérité, elle a appelé son mari et lui a ordonné de se présenter puis de confirmer qu’il ne participerait à rien. Cet homme assume totalement sa soumission, il était aussi très rassurant ce qui m’a convaincue que ce couple jouait carte sur table. Il n’y avait pas de piège. Nos discussions avec Madame Amazone se sont prolongées souvent tard le soir. Nous nous téléphonions et parlions de tout. J’ai donc accepté de faire plus d’une heure et demi de voiture d’aller pour aller passer un week-end chez eux. Bizarrement je n’avais aucune crainte sauf les derniers kilomètres. Serais-je à la hauteur était la question principale de mes inquiétudes. A l’arrivée, Madame Amazone et son mari étaient en vrai comme dans nos échanges, souriants, accueillants, rassurant. Je me suis rapidement sentie à l’aise en leur compagnie.

J’avais indiqué que j’acceptais de rencontrer monsieur mais pas qu’il soit présent quand nous passerions à des choses plus intimes. Alors que nous prenions un café sur la terrasse, Madame a soudain indiqué à son mari qu’il devait aller surfer dans leur chambre et n’avait pas la permission d’en sortir tant qu’elle ne l’appellerait pas. Cela n’a jeté un froid que sur moi. Monsieur a simplement souri et dit oui Maîtresse avant de se lever et de disparaître. Finalement j’aurai presque préféré qu’il reste, être seule face à cette femme dont l’assurance n’a d’égale que son autorité naturelle m’effrayait. Madame Amazone s’est levée et m’a invitée à la suivre dans la maison. Elle s’est assise dans son canapé et a commencé à me gronder. J’étais arrivée avec quinze minutes de retard. C’était inadmissible et méritait une punition. Ses yeux n’avaient pas l’air méchant, au contraire elle souriait. Et plus elle souriait au plus je me cristallisais. Ne sachant que dire, que faire je ne répondais pas, le silence est devenu pesant. Debout face à cette femme merveilleuse j’étais une toute petite chose fragile, sans défense. Je n’osais même plus la regarder en face. Pour me rassurer, Madame Amazone m’a indiquée que cela serait qu’une petite punition puisque c’était la première fois. Elle m’a attirée et couchée sur ses genoux tout en douceur. J’étais morte de honte et je me suis laissée faire. Sans aucune gêne elle a relevé ma jupe puis m’a complimentée sur mes courbes qu’elle trouvait très jolies. Elle a jouté qu’il était presque dommage de les rougir mais qu’il le fallait et que cela faisait partie de mon éducation.

La fessée a commencé doucement, ce qui me gênait le plus c’était le bruit des claques que son mari pouvait entendre. Quand elle a commencé à me fesser de plus en plus fortement, j’ai oublié le bruit pour retrouver cette bulle que j’aime tant. Pour ne pas trop me brusquer, elle n’a pas baissé ma culotte, elle en a fait un string en tirant dessus. La fessée a duré très longtemps, elle variait la puissance des claques. Il y a des fois où cela faisait vraiment mal et des fois où c’était vraiment très bon. Je me suis perdue dans cette fessée, mes pensées étaient concentrées sur mes fesses et mes sensations, rien d’autre ne pouvait m’atteindre. Le pire a été quand elle a planté ses ongles dans mes fesses pour les griffer, c’était si fort que j’ai failli jouir mais je n’arrivais pas à rester sans bouger. Quand elle m’a dit que cela suffirait pour une première fois, j’ai presque regretté que cela s’arrête. Madame Amazone m’a aidée à me relever pour me prendre dans ses bras comme une petite fille que l’on cajole. Je m’y suis lovée avec un plaisir indescriptible tant j’y étais bien. Comme nos têtes se touchaient et que je ne savais pas si je devais dire merci, je lui ai fait un bisou en la serrant très fort. Sa main caressait ma tête comme si j’étais un bébé, elle a joué avec son nez à titiller le mien. Nos lèvres se sont encore rapprochées et on s’est embrassées. Ce baiser était merveilleux. Madame Amazone m’a relevée la jupe et m’a faite écarter les jambes avant de me dire que j’étais une cochonne, que j’avais mouillé ma culotte. Alors j’ai dit que c’était sa faute. Nous avons rigolé, on s’est embrassées encore et puis on a discuté entre filles. Au bout d’un moment, elle m’a demandé si elle pouvait rappeler son mari et si j’étais opposée à l’idée qu’elle donne une fessée devant moi s’il le méritait. J’ai répondu non parce que j’étais déjà mentalement sous son joug.

Madame Amazone a appelé son mari et, quand il est arrivé, il a souri en nous voyant lovées sur le canapé. Elle lui a dit a reproché de sourire de l’embarras des gens punis et que c’était absolument inacceptable. Elle lui a demandé d’aller chercher le martinet. Elle lui a ensuite demandé de se mettre en position contre la table de la salle à manger et de baisser pantalon et culotte. Très obéissant et habitué aux envies de Madame, il s’est exécuté sur le champ sans discuter. Le pauvre était sous cage de chasteté, elle se voyait entre ses cuisses. C’était le première fois que j’en voyais une en vrai. Madame Amazone m’a demandée de me lever et lui a donné une fessée au martinet. Je n’avais jamais vu ça non plus autrement que sur des photos ou vidéos. Je dois dire que cela ne m’a pas laissée indifférente d’assister à la fessée de quelqu’un. Elle ne l’a pas loupé, le pauvre avait vraiment les fesses et le haut des cuisses bien rouges. Contrairement à moi, après sa fessée il a du aller au coin mains sur la tête sans relever son pantalon. Comme c’était rigolo de le voir marcher en canard avec son pantalon et son slip sur les pieds, j’ai pouffé de rire. Pour cette erreur, j’ai été punie le soir devant monsieur.

Voilà comment a débuté notre relation. Je dois dire que monsieur est toujours très respectueux avec moi, on s’accompagne parfois mutuellement en se tenant les mains pendant les punitions. Madame Amazone est aujourd’hui un peu comme ma Maîtresse et ma nounou en même temps. Elle me met parfois une couche mais ne la change jamais, ce n’est pas son truc. Si ce n’est pas son truc, elle ne se prive pas de me traiter de pisseuse ou de m’interdire de mettre une jupe quand je suis chez eux.....

Voilà, j’ai fait le témoignage que Madame Amazone m’a demandée de faire. J’espère qu’il vous plaira et que je n’ai pas été trop ennuyeuse.

Madame Amazone , je vous aime.

PetiteLéa

Un témoignage très bien raconté. Et très visuel. On a l'impression d'assister à la scène.
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